STAND-BY AVANCÉ POUR L’ÉQUIPAGE DE SPINDRIFT 2

Spindrift 2018
Spindrift Racing


Créé le:
29 octobre 2018 / 6:46
Modifié le:
29 octobre 2018 / 6:50

Engagé sur plusieurs circuits, le mois de novembre devait être le point d’orgue de la saison 2018 de Spindrift racing avec le championnat du monde de match racing et le début du stand-by du Trophée Jules Verne. L’épreuve de M32, initialement prévue à Shenzhen du 8 au 12 novembre, n’ayant pas lieu le team Spindrift met à bon escient ce changement de programme et avance officiellement le début de son stand-by. C’est donc à partir du 5 novembre que l’équipage du maxi trimaran, composé de 12 marins, sera en attente d’une fenêtre météo favorable pour s’élancer autour du monde et tenter d’abaisser le chrono établi par Francis Joyon en 2017 de 40 jours 23 heures 30 minutes et 30 secondes. 

 

LA TRINITE-SUR-MER, FRANCE, OCTOBER 17TH 2017: Spindrift racing (Maxi Spindrift 2) skippered by Yann Guichard from France, training for the Jules Verne Trophy 2017 attempt.

© Chris Schmid / Spindrift racing

A bord du maxi trimaran, ils seront ainsi onze équipiers à entourer Yann Guichard. Onze marins issus du collectif Spindrift constitué de 14 navigants au total : des familiers du multicoque mixant des expériences en olympisme, en match racing ou en course au large.
Les fidèles, bien sûr ! Ces marins de la première heure qui ont intégré Spindrift racing dès le début ou quasiment et qui constituent le noyau dur des navigants à régater à l’année avec Dona et Yann, soit Christophe Espagnon, François Morvan, Xavier Revil, Jacques Guichard et Erwan Israël. A ce « club des cinq » s’ajoutent les solitaires Thierry Chabagny, Sam Goodchild et Erwan Le Roux habitués à avaler les milles nautiques seuls à bord de leurs Figaro, Class40 et Multi50 respectifs. Puis viennent les moins de trente ans que sont le lyonnais Benjamin Schwartz, l’australien Jackson Bouttell et le suisse Duncan Späth. Les deux premiers comptent déjà un tour du monde victorieux avec Dongfeng race team, dans l’équipe technique en charge de l’électronique pour Benjamin et sur le pont pour Jackson qui officiait comme numéro un. Quant à Duncan, il sera le rookie de l’épreuve. Après avoir suivi avec intérêt l’aventure de sa mère, Dona Bertarelli, et de l’équipe Spindrift en 2015-2016 puis avoir fait ses armes lors de campagnes victorieuses à bord du maxi trimaran (Fastnet 2015 / Québec Saint-Malo 2016), il s’apprête à tracer son propre sillage autour du monde. Complètent ce collectif, Thierry Duprey Du Vorsent et Morgan Lagravière aux délicates places de remplaçants et Jean-Yves Bernot à l’indispensable poste de routeur à terre.

A partir du 5 novembre et une fois le maxi-trimaran amarré à Brest, tous seront sur le qui-vive, à l’affût d’un scénario météo propice à un début de tour du monde en équipage, sans escale ni assistance.  Mais d’ici-là, le team Spindrift devra faire preuve de patience.

 

LOWRES IMAGE - Guide
L’équipage de Spindrift 2 lors d’une préparation physique sur le Mont-Blanc © Edouard Elias / Spindrift racing

 

ÉQUIPAGE DE SPINDRIFT 2:
Yann Guichard (skipper) voir son portrait
Erwan Israël (navigateur) voir son portrait
Jacques Guichard (chef de quart / barreur-régleur) voir son portrait
Christophe Espagnon (chef de quart / barreur-régleur) voir son portrait
Xavier Revil (chef de quart / barreur-régleur) voir son portrait
François Morvan (barreur-régleur) voir son portrait
Thierry Chabagny (barreur-régleur) voir son portrait
Sam Goodchild ((barreur / numéro un) voir son portrait
Erwan Le Roux (barreur-régleur) voir son portrait
Duncan Späth (barreur-régleur) voir son portrait
Benjamin Schwartz (barreur / numéro un) voir son portrait
Jackson Bouttell (barreur / numéro un) voir son portrait
Thierry Duprey Du Vorsent (barreur / numéro un) voir son portrait
Morgan Lagravière (barreur-régleur) voir son portrait

Jean-Yves Bernot (routeur)



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