Thomas Coville en un temps record au Cap Horn

Jeudi 8 décembre 2016 à 2h20 (heure française), Thomas Coville, skipper du trimaran Sodebo Ultim’, a franchi le Cap Horn avec 4 jours 59 minutes d’avance sur le temps de Francis Joyon, détenteur du record autour du monde en solitaire depuis 2007.
©Sodebo
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Record de la traversée du Pacifique en solitaire

C’est la première fois qu’un marin solitaire traverse l’Océan Pacifique aussi vite. Thomas Coville signe ce matin un nouveau record de vitesse, celui de la traversée du Pacifique en solitaire en 8j 18h 28m 30s (sous réserve d’homologation et de ratification par le WSSRC – World Sailing Speed Record Council).

A une moyenne de 25.8 nœuds, il a parcouru les 5429 milles – soit 10 064 km de cet océan.

Pour aller de la pointe sud de la Tasmanie au Cap Horn, le skipper de Sodebo Ultim’ n’aura mis que 10 min de plus que Orange II, le catamaran de presque 40 mètres de Bruno Peyron qui, en 2005, avait mis 8 jours et 18 heures avec 14 hommes à bord. Et 39 minutes de moins que Groupama 3 en 2010 avec 10 hommes à bord dont Thomas Coville.

Ouessant – Cap Horn à vitesse grand V : un nouveau temps de référence

Parti le dimanche 6 novembre de Ouessant, Thomas Coville aura mis 31 jours 11 heures 30 min 8 sec pour doubler le dernier des trois grands caps du tour du monde à la voile après le Cap de Bonne Espérance et le Cap Leeuwin au Sud de l’Australie.

Avec une vitesse moyenne sur l’eau de 25.33 noeuds, le skipper de Sodebo Ultim’ établit un nouveau temps de référence en solitaire entre Ouessant et le Cap Horn. Il a parcouru 19142 milles depuis le départ – soit 35 450 km. En ligne droite, il lui reste 7000 milles jusqu’à Ouessant. Pour battre le record de Francis Joyon, il doit être de retour à Brest avant le 3 janvier 2017 à 4h 23 min 57 secondes (heure française).

 

Source : www.sodebo.com

 

Idec Sport de nouveau dans l’attente d’un départ

Faire demi-tour après seulement une semaine de course n’a pas entamé le moral ni la détermination de Francis Joyon et de ses cinq coéquipiers. L’équipage d’Idec Sport est arrivé à Brest ce samedi après-midi et attend désormais de pieds fermes des conditions météorologiques favorables pour repartir à la conquête du trophée Jules Verne.

©Mer et Média / Idec Sport
©Mer et Média / Idec Sport

 

Dimanche dernier, après un début de course pourtant bon, les six marins de l’équipage avaient fait le choix de rebrousser chemin après avoir connu un sacré écueil dans le Pot au Noir et perdu de précieuses heures dans l’optique d’établir un nouveau record de l’épreuve. Moins d’une semaine plus tard, ils ont retrouvé le port de Brest où ils sont de nouveau en stand-by d’une fenêtre météo favorable.

Pour rappel, la première tentative, débutée le 20 novembre, était un pari dont la stratégie avait été établie conjointement par Francis Joyon et Marcel Van Triest, routeur et météorologue de la Team Idec Sport. Partie difficilement de Ouessant, l’équipe avait filé bon train à travers le Golfe de Gascogne puis le long des côtes marocaines. C’est le Pot au Noir qui avait finalement eu raison de Francis Joyon, Bernard Stamm, Alex Pella, Gwénolé Gahinet, Clément Surtel et Boris Herrmann, les obligeant à faire demi-tour.

Quand les conditions le permettront, les six hommes s’attaqueront de nouveau au record établi par Loïck Peyron en 2012 (45 jours 13h 42 min et 53 sec).

 

Isabelle Trancoen

Joyon : « Rien de ce que nous avons eu n’était prévu »

Depuis 48 heures, l’équipage d’IDEC SPORT a fait demi-tour. À l’entame d’une tentative sur le Trophée Jules Verne, Francis Joyon et ses cinq hommes ont pris la décision d’arrêter leur chasse au record en approche de l’Equateur. Cueillis par un Pot au Noir particulièrement virulent qui les a stoppés net dans leur élan et leur a retiré tout espoir de poursuivre en Atlantique Sud dans le rythme du chrono à battre, Francis, Bernard Stamm, Alex Pella, Clément Surtel, Gwénolé Gahinet et Boris Herrmann ont préféré vite mettre cap au Nord. Ils font route actuellement vers Brest, qu’ils espèrent rejoindre dimanche pour s’élancer, à nouveau et dès que possible à la conquête de ce record de vitesse absolue autour du monde. Mais pour l’heure, au large du Cap Vert – comme le raconte Francis Joyon, joint en vacation –  l’équipage d’IDEC SPORT se prépare à repartir.

© Photo Pierrick Contin / DPPI / IDEC
© Photo Pierrick Contin / DPPI / IDEC

 

Quelles conditions rencontrez-vous dans la remontée vers Brest ?

F.J : «  Aujourd’hui, c’est notre journée de petit temps. On est sous le vent des îles du Cap Vert, il fait très chaud, le ciel est très bleu et on en profite pour remettre en ordre le bateau pour être le plus efficace possible en arrivant à Brest. Nous sommes dans une zone de transition, dans l’alizé qui faiblit. Mais après cette période de calme, on doit attraper des vents dépressionnaires un peu plus au Nord, et remonter assez rapidement. On espère être à Brest dimanche matin, ou dans la nuit de samedi à dimanche si les conditions sont vraiment favorables. »

Visiblement, vous avez traversé et essuyé un Pot au Noir très actif…

« À nous six, on en a franchi un paquet de Pot au Noir (Zone de Convergence  Intertropicale, ndlr). Je m’en souviens d’un qui avait été aussi virulent et aussi brutal avec des grains vraiment violents et des vents qui passent de 0 à 40 nœuds en quelques instants, mais cela reste très rare. D’autant que cette fois ci, cela a duré sur une vingtaine d’heures avant de se poursuivre sur une longue période de quasi calme. Au Pot au Noir, il reste une part de mystère… Rien de ce que nous avons eu n’était prévu ; ni par les fichiers, ni par les observations qu’on avait pu faire avant. On a décidé de faire demi-tour, de le retraverser en se disant qu’on allait déguster… Et en fait, dans la remontée, on a eu un Pot au Noir très rapide dans des vents réguliers et sans s’arrêter. C’était assez sidérant ! »

Comment va le moral du bord 48 heures après cet épisode ?

« Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de Bernard, on n’a pas encore trouvé tous les ingrédients pour lui faire un gâteau, mais ça va venir !  L’équipage a retrouvé sa bonne humeur après que chacun ait pris un peu sur soi pour accuser le coup dans son coin. Aujourd’hui, le bon naturel des uns et des autres a repris le dessus. On commence à regarder les nouvelles fenêtres météo possibles, il ne semble pas en avoir dans l’immédiat, mais de notre côté nous serons prêts. Il nous suffira juste de remettre deux semaines d’avitaillement à bord et on pourra repartir. »

 

Source : www.idecsport-sailing.com

Idec Sport fait demi-tour et rentre à Brest

Francis Joyon, en plein accord avec son équipage et son routeur à terre Marcel van Triest, a décidé ce dimanche matin d’interrompre sa tentative contre le record du tour du monde à la voile, le Trophée Jules Verne. Il fait demi-tour et rentre à Brest pour y attendre de nouveau une fenêtre plus favorable et plus propice à un nouveau départ.

Photo Jean Marie Liot / DPPI / IDEC
Photo Jean Marie Liot / DPPI / IDEC

 

Un pot au noir particulièrement actif, large et en déplacement constant sur la route du maxi-trimaran Idec Sport  empêche Francis Joyon et ses hommes d’espérer connecter efficacement avec les systèmes dépressionnaires d’Atlantique sud, propices à réaliser un temps correct à Bonne Espérance, et à les mettre dans les meilleures dispositions pour espérer battre le record de Banque Populaire V.

Idec Sport regagne donc la Bretagne et Brest que Francis Joyon espère rallier le week-end prochain. Il entamera sans attendre une nouvelle phase de stand by, prêt à s’élancer de nouveau pour une nouvelle tentative.

« Entre grains d’une violence inouïe, et des longs moments totalement déventés, j’ai beaucoup réfléchi hier avant de poser la question à Marcel van Triest sur l’opportunité de poursuivre notre tentative » explique Francis. « Il s’avère qu’avec ce retard imprévisible pris à l’équateur, nous ne serons pas en mesure d’accrocher les dépressions en formation du côté du cap Frio, au large du Brésil. En continuant notre route, nous risquions fort de nous présenter à Bonne Espérance avec un retard insurmontable ».

Et Francis Joyon d’ajouter : « Nous ne renonçons pas. La possibilité de faire demi-tour fait partie de ce genre de défi, et nous l’avions évoquée dès notre départ de Brest le week-end dernier. Nous allons de nouveau traverser les zones à grains du pot au noir pour rallier Brest dimanche prochain, et débuter un nouveau stand by. »

 

Source : www.idecsport-sailing.com

Gare au pot au noir !

Après avoir fendu l’océan Atlantique à la faveur de conditions météorologiques très favorables avant d’aborder les îles du Cap Vert, Francis Joyon et consort connaissent un ralentissement ce vendredi. Mais l’équipage reste confiant avant de franchir l’Equateur.

©Mer et Média / Idec Sport
©Mer et Média / Idec Sport

 

Il y a 24 heures, le maxi-trimaran Idec Sport possédait une courte avance sur le record établi par Loïck Peyron, à la barre de Banque Populaire V, en 2012. Mais voilà, le passage du Cap Vert a de nouveau inversé la tendance. Les responsables ne sont autres que les dévents liés au relief de deux petites îles de l’archipel capverdien. Du coup, Joyon et ses cinq compères ont dû s’employer comme de beaux diables, à grands renforts d’empannages, pour se sortir de là. Dans la nuit, l’équipage d’Idec Sport a laissé le Cap Vert derrière lui mais le chrono ne jouait déjà plus en leur faveur.

Comme a chaque jour son épreuve, c’est désormais le pot au noir qui attend les six marins. Cette zone de convergence intertropicale qui précède l’Equateur est toujours redoutée par les navigateurs qui craignent de s’y engluer. Le défi sera justement de parvenir à s’en extirper rapidement pour Francis Joyon qui espère toujours franchir l’Equateur dans un temps honnête. « Nous ne visons pas un temps canon à l’Equateur, rappelle le marin d’Eure-et-Loir. Nous souhaitons limiter notre retard sur le chrono référence et comptons sur une météo plus favorable en Atlantique sud pour nous refaire jusqu’au cap de Bonne Espérance. »

A l’heure actuelle, le maxi-trimaran Idec Sport avance à une moyenne d’environ 15 nœuds, bien loin de la moyenne réalisée la veille qui lui avait permis d’avaler littéralement les milles. L’Equateur se situe à moins de 500 milles et les heures à venir seront donc importantes pour l’équipage. Car, soyons francs : un passage dans un bon temps mettrait indéniablement du baume au cœur aux six hommes qui attaqueraient alors l’hémisphère sud de la meilleure des manières.

 

Isabelle Trancoen

Idec Sport file bon train

Ce jeudi, Francis Joyon et ses cinq compères ont franchi les îles enchanteresses du Cap Vert après 3 jours et 15 heures de navigation. Une belle performance au vu des conditions de départ dans lesquelles s’était élancé l’équipage d’Idec Sport dimanche dernier.

©Mer et Média / Idec Sport
©Mer et Média / Idec Sport

 

Ils ont eu connu un centre dépressionnaire, de forts vents et la pétole. Mais après 3 jours et 15 heures de mer, Francis Joyon, Bernard Stamm, Clément Surtel, Gwénolé Gahinet, Alex Pella et Boris Herrmann ont vu leurs efforts et leur stratégie récompensés. Les six marins ont en effet parcouru 2290 milles à 26,3 nœuds de moyenne. Un début de course très satisfaisant puisqu’ils comptent ce soir de l’avance – aussi maigre soit elle – sur le record établi par Loïck Peyron en 2012.

 

https://twitter.com/FrancisJoyon/status/801749958298836992

 

Cette avance, Francis Joyon ne cache pas qu’ils l’ont obtenu à la sueur du front : « J’ai barré comme un fou hier, 35 nœuds et plus. Mais on n’a pas encore  exploité tout le potentiel du bateau. Le vent était trop irrégulier en force comme en direction. C’était sportif (…) Dans de telles conditions, le bateau exige tant de concentration de la part du barreur qu’au bout de 30 mn, il faut passer la main. Il faut vraiment que les conditions soient faciles pour rester plus d’une demi-heure à la barre. »

En presque 4 jours de course, l’équipage a pu mettre un peu à l’épreuve son maxi-trimaran et le verdict est bon : « le bateau nous semble plus rapide et toute la journée d’hier, sous Grand Voile haute et gennaker, on était 7 à 8% plus rapide que l’an passé, explique Francis Joyon. On a tiré les enseignements de notre tentative passée, et on essaie de faire mieux dans tous les domaines, jusqu’à l’avitaillement. »

Le Cap Vert passé, l’équipage d’Idec Sport va désormais se concentrer sur son prochaine objectif : l’Equateur. Pour rappel, en 2012, Loïck Peyron, à la barre de Banque Populaire V, l’avait franchi en 5 jours, 14 heures et 55 minutes.

 

Isabelle Trancoen

La stratégie payante de Joyon

Après un démarrage un peu chaotique dans des conditions météorologiques fluctuantes, Francis Joyon et ses cinq compères ont trouvé leur rythme et avancent bon train au sud-ouest des Canaries.

Photo Jean Marie Liot / DPPI / IDEC
Photo Jean Marie Liot / DPPI / IDEC

 

Avant le départ, dimanche dernier, Marcel Van Triest et Francis Joyon avaient établi un plan qui devait commencer à porter ses fruits à partir de l’Equateur. Il n’aura pas fallu attendre jusque là car, après trois jours assez éprouvants, l’équipage d’Idec Sport est en bonne position et peut enfin reprendre un peu son souffle.

« Un départ, c’est toujours fort émotionnellement et celui-ci a été brutal, racontait ce mercredi Clément Surtel. On s’en sort bien. On a évité le gros du vent. La mer se calme. On tient bien la feuille de route en bataillant avec des grains un peu mous. On attaque pour se sortir des grains. On est content de notre moyenne. Un peu de bricolage à faire mais rien de grave. On commence seulement à s’alimenter régulièrement, œufs au bacon pour moi ce matin. »

Alors que les conditions s’améliorent et que le soleil a fait son apparition pour le plus grand bonheur des six marins embarqués sur le maxi-trimaran, ces derniers filent vers le sud à une moyenne très satisfaisante de 30 nœuds. Pour l’heure, Clément Surtel affirme qu’il « ne regarde pas trop les écarts ». La team Idec Sport peut toutefois se réjouir des efforts fournis ces dernières heures car elle ne compte plus que 11 milles de retard sur le trajet réalisé par Loïck Peyron en 2012.

Mais si le bilan actuel est positif, Francis Joyon et ses coéquipiers ne comptent pas se reposer sur leurs lauriers alors que les îles du Cap Vert sont en ligne de mire.

 

Source : www.idecsport-sailing.com

Ce n’est pas de tout repos !

Au moment où ils ont franchi la ligne de départ, à Ouessant, dimanche dernier, Francis Joyon et ses 5 coéquipiers le savaient : le début de l’aventure n’allait pas être un long fleuve tranquille. Après presque 48 heures d’une mer aux multiples visages, la Team Idec Sport confirme. Elle a en effet connu en deux jours aussi bien la pétole que de forts vents.

©Mer et Média / Idec Sport
©Mer et Média / Idec Sport

 

« Le passage du centre de la dépression, une douzaine d’heures après notre départ d’Ouessant, nous a un peu bousculé, a expliqué, ce matin, Francis Joyon. Il y a eu beaucoup de manœuvres préjudiciables à la haute vitesse, avec une bonne douzaine de changements de voiles très fatigante, car nous ne sommes que 6 à bord de ce grand bateau. On a ainsi peu dormi et vécu sur nos réserves ».

Actuellement, le maxi-trimaran met le cap au sud-ouest et navigue au large des côtes marocaines. Grâce à un fort vent de secteur nord est, l’équipage avance à une vitesse d’environ 28 nœuds. S’ils comptent un retard de 215 milles sur le record de Loïck Peyron, Francis Joyon et consorts restent néanmoins confiants quant à leur stratégie dessinée conjointement avec Marcel van Triest, leur routeur et météorologue. L’objectif est en effet de rallier l’Équateur dans un chrono dit « correct » avant de franchir le cap de Bonne Espérance dans un bon temps.

Rappelons qu’en 2012 Loïck Peyron avait passé l’Equateur en 5 jours, 14 heures et 55 minutes puis Bonne Espérance au bout de 11 jours.

 

Isabelle Trancoen

Un démarrage en dent de scie

Partis il y a 24 heures à l’assaut du Trophée Jules Verne, Francis Joyon et son équipage ont connu un départ difficile avant de trouver leur rythme de croisière, ce lundi matin, à la faveur d’un vent très favorable. Le maxi-trimaran navigue actuellement à hauteur des côtes portugaises.

©Mer et Média / Idec Sport
©Mer et Média / Idec Sport

 

On ne peut pas dire que le départ de Francis Joyon, pour sa seconde tentative de record, se soit faite sur les chapeaux de roues. Bien au contraire. Avec Marcel Van Triest, le routeur et météorologue de la team Idec Sport, le choix a été le suivant : s’élancer malgré de faibles vents avec la perspective de bonnes conditions de navigation par la suite. Et c’est exactement ce qui s’est produit. Joyon et consort ont, dans un premier temps, été contraints de tirer de nombreux bords dans une absence de vent quasi totale. Puis, au petit matin, Eole s’est enfin réveillé pour le plus grand bonheur de l’équipage.

Le Golfe de Gascogne a ainsi été « avalé », ce qui a permis à Francis Joyon de rattraper le retard qu’il accusait au lever du jour. Après 24 heures d’effort, la Team Idec Sport accuse un retard de 182 milles sur le record établi par Loïck Peyron en 2012.

Quoi qu’il en soit, après cette première journée de mer, Marcel Van Triest se montre optimiste : « Nous envisageons un temps correct à l’Equateur, de l’ordre de 5 jours et une douzaine d’heures, nettement moins bien que lors de la tentative 2015 (5 jours et 1 heures ndlr), mais un chrono très intéressant à Bonne Espérance, de l’ordre de 13 jours et demi, avec de surcroit, la possibilité d’éviter d’aller trop sud jouer avec les zones de glaces, comme le suggéraient nos routages lors de l’examen de la fenêtre du 6 novembre ».

 

Isabelle Trancoen

Trophée Jules Verne : revivez le départ d’IDEC Sport

Dimanche 20 novembre à 21h44, Francis Joyon et ses 5 coéquipiers se sont élancés, à bord de leur maxi-trimaran Idec Sport, à la conquête du Trophée Jules Verne. Revivez en vidéo le coup d’envoi de cette grande aventure sportive et humaine que l’on vous invite à suivre sur la page actualité du site. Vous pouvez également suivre le trajet de l’équipage grâce à notre cartographie

 

 

Isabelle Trancoen